L’attractivité du Maroc (compétitivité, climat des affaires favorable, modèle de croissance économique à forte valeur ajoutée et plurisectoriel, protection des investissements étrangers, émergence d’une classe moyenne, plateforme commerciale, industrielle et technologique pour les autres pays africains et des pays de moyen orient, …) présente de nombreuses opportunités d’affaires pour tout type d’entreprises, dans tous les secteurs d’activités et en particulier dans ceux promus par les stratégies sectorielles des pouvoirs publics marocains :
Secteurs | Stratégie | Objectifs |
Industrie | Pacte National pour l’Emergence Industrielle (PNEI) | Développement des Métiers Mondiaux du Maroc (offshoring, suivi du Plan National d’Accélération automobile, électronique, aéronautique, textile et cuir, Industrielle agroalimentaire, IMME, chimie-parachimie, pharmaceutique) et aménagement de 22 Plates-formes Industrielles Intégrées (P2I).
Création d’écosystèmes industriels, réduction du poids de l’informel, création d’un fonds de développement industriel. |
Agriculture | Maroc Vert | Développement d’une agriculture moderne et compétitive. |
Tourisme | Vision 2020 | Aménagement de plusieurs zones balnéaires
Promotion du tourisme durable et de niche. |
Commerce | Rawaj | Assurer au consommateur une offre produit diversifiée et de qualité / Accompagner les acteurs dans leur développement. |
Pêche | Halieutis | Valorisation des produits de la pêche et modernisation des unités productives. |
Nouvelles Technologies | Maroc Numeric 2022 | Prolongement du plan Maroc Numeric 2013 pour le déploiement et la dynamisation des technologies de l’information et de la communication. |
Logistique | Stratégie logistique nationale | Aménagement de zones logistiques multi-flux. |
Energie | Plan Energie 2030 | Promotion des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique |
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Histoire : Fondation de l’État en 789, Indépendance en 1956,
Repères administratifs et culturels:
- Monarchie constitutionnelle, démocratique, parlementaire et sociale, organisée en douze régions, dirigées par un wali et un Conseil régional
- Chef de l’Etat et Commandeur des Croyants : le Roi Mohammed VI (intronisé le 30 juillet 1999)
- Chef de gouvernement : M. Saad Eddine El Othmani (nommé depuis le 5 avril 2017)
- 2 principaux partis politiques sur un total de 12: Parti de la justice et du développement, Parti authenticité et modernité
- Religion(s) : islam sunnite de rite malékite (99 %), christianisme, judaïsme (1 %)
- Langues officielles (l’arabe et l’amazigh) et langues des affaires (principalement le français, l’anglais et l’espagnol)
- Devise nationale : Dieu, la Patrie, le Roi
- Fête nationale : 30 juillet (Fête du Trône)
- Monnaie : dirham marocain 1 euro = ± 11,1 MAD
- GMT + 1h en été
Géographie: superficie de 710 850 km2 , (Espagne: 504 030 km2, France: 675 000 km2), densité de 50 hab./km², zones montagneuses 25 % du territoire, 3446 km de côtes, sur la mer Méditerranée 512 km et l’océan Atlantique 2934 km
Démographie: Population: 35 millions d’habitants, 55% urbaine et 45% rurale, en croissance de 1,5%, espérance de vie : 76 ans, taux d’alphabétisation : 67,1% (84% pour les 15-24 ans)
Economie: L‘économie marocaine dépend reste dépendante des performances du secteur agricole et de la conjoncture de l’Union européenne. Le secteur primaire reste à ce jour le premier “employeur du pays”. On estime qu’environ 40,5 % de la population active dépend de cette branche d’activité qui représentait 16,5 % du PIB en 2013.
Le secteur secondaire (intervenant pour 28,5 % dans le PIB) est porté par les activités d’extraction et de transformation du phosphate. Le Maroc se trouve être dans une situation très avantageuse puisque le pays possède les trois-quarts des réserves mondiales.
Enfin, le secteur tertiaire représente 54,8 % du PIB. Aujourd’hui, la part des activités tertiaires dans la valeur ajoutée totale s’est renforcée et représente l’essentiel du tissu productif national. PIB: 110 milliards de $ en augmentation + 5,17 % (62e), Taux de chômage: 10 % de la population active, 98 % des échanges internationaux du Maroc s’effectuent par voie maritime représentant un trafic global d’environ 100 millions de tonnes de marchandises, les principaux produits à l’exportation du Maroc sont les vêtements confectionnés, les fils et câbles pour l’électricité, les phosphates et dérivés de phosphate et plus récemment l’automobile et l’aéronautique, les importations marocaines concernent essentiellement les produits énergétiques (pétrole, hydrocarbures), des produits semi transformés, les biens d’équipement et le blé.
Principales villes:
- Rabat (Capitale politique et administrative du royaume, Ville impériale, 0, 6 M/hab)
- Casablanca (Capitale économique, pôle industriel du pays, 3, 4 M/hab),
- Fès (Capitale spirituelle et du savoir, Ville impériale, 1,1 M/hab),
- Tanger (1re zone franche, plus grand port de commerce Tanger Med et Tanger Med II, 4 zones industrielles, dont 1 zone franche TFZ, 1 M/hab),
- Salé (Ville à proximité de Rabat, aéroport international, 0,85 M/hab)
- Marrakech (Ville impériale, 1re ville touristique du royaume, 0,93 M/hab),
- Meknès (Ville impériale, Capitale agricole, 0, 632 M/hab),
- Kénitra (Pôle technologique en développement, 0,431 M/hab),
- Agadir (Ville agricole par excellence, le plus grand port de pêche, 0, 5 M/hab)
Le Maroc, entre tradition et modernité, affiche depuis de nombreuses années une stratégie constante d’ouverture et de rayonnement régional et international, dans le cadre d’une vision globale de croissance pacifique, qui en fait un pays très attractif offrant des atouts majeurs:
- Plateforme compétitive à l’export à 14 km de l’Europe!
- Accès en libre-échange à 55 pays situés sur les 5 continents et représentant un marché de plus de un milliard de consommateurs
- Un pays stable et sûr pour une solide économie en constante croissance (demande intérieure en hausse, investissements publics et étrangers en hausse, faible inflation, dette et chômage en baisse)
- Des infrastructures aux standards internationaux : 11 ports, dont le port de Tanger Med qui a l’ambition de devenir le 1er port de la Méditerranée, réseau autoroutier et ferroviaire en extension, transport urbain en développement, 15 aéroports internationaux, nombreuses Zones d’Activités Economiques (Plateformes Industrielles Intégrées, zones franches, agropoles, clusters…) et infrastructure télécommunications performante avec 19 millions d’utilisateurs d’internet
- Des stratégies sectorielles ambitieuses : modernisation des secteurs traditionnels (agriculture, pêche et mines) et développement de secteurs innovants (énergies renouvelables, logistique, automobile, aéronautique et services à forte valeur ajoutée)
- Un environnement des affaires favorable : Renforcement de la sécurité juridique en générale, protection et garantie des investissements (droit du travail, Droit d’auteurs, droit de la propriété industrielle, Liberté des prix et de la concurrence, protection des données personnelles, Arbitrage et médiation conventionnelle), Simplification des procédures administratives aux entreprises, création du Comité National de l’Environnement des Affaires, de l’Instance Centrale de la Prévention de la Corruption, de l’Office Marocain de la Propriété Intellectuelle et Commerciale et promotion de la charte relative à la Responsabilité sociale des entreprises, Une fiscalité incitative et ouverte, Fonds de développement industriel et de l’Investissement, Exonération du droit d’importation ou de la TVA, possibilité de rapatrier les bénéfices, …
- Des avancées sociales et économiques : développement du mouvement associatif (actuellement 130 000 associations au Maroc), préoccupation pour les droits de l’Homme (plan gouvernemental pour l’égalité et l’émancipation économique et politique des femmes, lutte contre la violence à l’égard des femmes)
- Un capital humain, jeune, qualifié et performant
Membre des principales organisations internationales telles que l’OMC (1995), l’ONU (1956), le FMI et la Banque Mondiale, du bureau du Centre de développement de l’OCDE, de l’Union africaine (UA)
A ratifié le protocole de Kyoto dans le cadre de la convention-cadre des Nations Unies sur le changement climatique et l’accord de Paris (2015)
Membre fondateur de l’Union pour la Méditerranée (UPM) fondée à Paris le 31 juillet 2008 et dont le siège est à Barcelone.
A renforcé ses relations politiques, sociales, culturelles et économiques avec l’Union européenne (ALECA), principal partenaire commercial du Maroc avec plus de 60 % des échanges globaux
Premier investisseur africain dans les zones de la Communauté économique et monétaire de l’Afrique centrale (CEMAC – Cameroun, République Centre Africaine, République du Congo, Gabon, Guinée Equatoriale et le Tchad) et de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’ouest – Bénin, Burkina Faso, Cap-Vert, Côte d’Ivoire, Gambie, Ghana, Guinée, Guinée Bissau, Liberia, Mali, Niger, Nigeria, Sénégal, Sierra Leone, Togo et Mauritanie comme membre associé et en 2017 le Maroc (CEDEAO)
Depuis plus d’une décennie, l’Afrique est devenue une destination prisée par les entreprises marocaines, avec une croissance notable dans certains secteurs d’investissements clés:
- Banques et Assurances
- Télécommunications
La Banque Africaine de Développement (BAD) compte faire du royaume du Maroc un modèle de référence à mettre en avant pour les pays africains les moins avancés.
Voici quelques entreprises marocaines qui ont réussi à s’implanter en Afrique et aussi hors du continent africain:
- SAHAM 400 M$ (298 M€) – Finance, Offshoring et Santé, le groupe fondé par Moulay Hafid Elalamy, l’actuel ministre de l’Industrie, du Commerce, de l’Investissement et de l’Economie numérique, a multiplié les opérations d’acquisitions sur le continent mène une stratégie d’expansion orientée vers l’Afrique et le Moyen-Orient.
- MAROC TELECOM, dont l’Etat marocain détient encore 30% du capital, est implanté en Mauritanie, au Mali, au Gabon et au Burkina Faso.
- ATTIJARIWAFA BANK, implanté en Afrique de l’ouest, en Afrique centrale, en Europe mais aussi en Chine, est considéré comme le premier groupe bancaire et financier du Maghreb et premier au niveau africain depuis 2013.
- BMCE Bank, 1ère banque en termes de présence en Afrique avec plus de 20 pays et aussi implanté en Europe, en Asie et bientôt à Abu Dhabi.
- CDG: Le groupe CDG renforce son maillage international, la plus importante réalisation du groupe reste la création de JAIDA, fonds de financement des organismes de microcrédits, dont la CDG détient 45%.
- OCP: Le groupe OCP (Office Chérifien du Phosphate), leader mondial du phosphate (utilisé principalement comme un engrais azoté), avec 5 milliards d’euros et 20 000 collaborateurs représente 33 % des exportations du Maroc.
- YNNA HOLDING (GROUPE CHAÂBI), un des plus anciens groupes industriels privés au Maroc-.
- 8- OPTORG (1000 M€ de CA, 2.540 collaborateurs, 29 pays d’implantation), spécialiste de l’équipement forestier, minier et pétrolier et de la distribution de véhicules industriels et pour particuliers
- HPS, centres de traitement de transactions électroniques, notamment paiements par téléphone mobile, est active dans plus de soixante pays
- FINATECH, opère dans les infrastructures et réseaux, paiement électronique…, partenaire offshoring de grandes entreprises qui souhaitent sous-traiter leur système d’information comme Renault, Peugeot, Axa, …
La Banque mondiale publie chaque année un rapport sur le climat d’affaire et l’activité commerciale de 190 pays du monde (taux de chômage, de corruption, réformes réalisées pour favoriser l’implantation d’entreprises étrangères, …)
Le Royaume du Maroc progresse de manière constante et est actuellement à la 69 ème place du classement (contre 128e en 2010) grâce à ses progrès dans les domaines suivants :
- Faire des Affaires 68 ème/190 pays
- Créer une entreprise 40 ème/190 pays
- L’octroi d’un permis de construire 18 ème/190 pays
- Le raccordement à l’électricité 57 ème/190 pays
- Le Transfert de Propriété 87 ème/190 pays
- La Protection des investisseurs minoritaires 87 ème/190 pays
- Le paiement des Taxes et Impôts 41 ème/190 pays
- Les possibilités de commerce transfrontalier 63 ème/190 pays
- L’exécution des Contrats 57 ème/190 pays
Des efforts sont en cours dans les domaines suivants :
- Obtention de Prêts 101 ème/190 pays
- Règlement de l’insolvabilité 131 ème/190 pays
Le Maroc continue à améliorer le climat des affaires en adoptant de nouvelles lois visant l’amélioration des conditions d’investissement, de travail, la protection des droits d’auteurs et de la propriété industrielle, la modernisation et simplification du régime fiscal, et, la création d’un dispositif d’aides incitatives à l’investissement.
Dans le domaine des conditions d’investissement :
- la libéralisation de l’économie : la liberté des prix et de la concurrence sous le contrôle du Conseil de la Concurrence.
- l’assouplissant des procédures : harmoniser la législation commerciale marocaine avec les principes internationaux de l’arbitrage et de la médiation conventionnelle
- le renforcement de la protection des opérateurs privés
- le Maroc a ratifié des conventions internationales relatives à la garantie et à la protection de l’investissement (création du Centre International de Règlement des Différends relatifs aux Investissements ”CIRDI”; de l’’Agence Multilatérale de Garantie des Investissements ”AMGI”; de l’Organisation Interarabe pour la Garantie des Investissements), des accords et conventions concernent le traitement des investissements admis, le libre transfert des capitaux et revenus, la non expropriation de l’investissement, sauf pour des raisons d’utilité publique et suite à une décision judiciaire (sur une base non discriminatoire et donnant lieu au paiement d’une indemnité prompte et adéquate), le règlement des différends avec recours aux tribunaux internes ou à l’arbitrage international selon le choix de l’investisseur, des conventions de non double imposition en matière d’impôts sur les revenus, la protection de l’investisseur dans le cadre du droit interne, la mise en place d’un régime de convertibilité qui garantit aux investisseurs concernés, l’entière liberté pour la réalisation des opérations d’investissement au Maroc, le transfert des revenus produits par ces investissements, le re-transfert du produit de liquidation ou de cession des investissements,
- la création en 2009 du Comité National de l’Environnement des Affaires (CNEA) a été créé en décembre 2009, présidé par le chef du gouvernement, composé de représentants de secteurs public et privé, a pour mission d’identifier et de mettre en œuvre les mesures destinées à renforcer l’attractivité du Maroc, en étroite collaboration avec les Comité Régionaux de l’Environnement des Affaires (CREA).
Dans le domaine des conditions de travail :
- La liberté syndicale et l’adoption effective du droit d’organisation et de négociation collective ;
- L’interdiction de toutes formes de travail par contrainte ;
- L’élimination effective du travail des enfants ;
- L’interdiction de la discrimination en matière d’emploi et de professions ;
- L’égalité des salaires
- La protection des données personnelles sous le contrôle de la Commission Nationale de contrôle de la protection des Données à caractère Personnel (CNDP)
Dans le domaine des droits d’auteurs et de la protection de la propriété industrielle, des mesures ont également été adoptées pour :
- Affermir et moderniser le système de protection des droits des créateurs, des œuvres et de la propriété industrielle;
- Harmoniser la législation nationale avec les engagements pris par le Maroc dans le cadre des Traités et Accords internationaux.
Dans le domaine fiscal, la volonté de modernisation, de rationalisation et de simplification du Maroc se traduit par l’adoption des mesures suivantes :
- 3 impôts principaux, l’impôt sur les revenus (IR), l’impôt sur le bénéfice des sociétés (IS) et la taxe sur la valeur ajoutée (TVA),
- Des barèmes de calcul simples, parfois comportant des taux spécifiques et des exonérations partielles ou totales
Le Maroc a pris des mesures attrayantes d’incitations spécifiques aux investissements sous forme d’avantages financier, fiscal ou douanier :
- Fonds de développement industriel et des investissements (FDII)
- Fonds Hassan II pour le Développement Economique et Social ;
- exonération des droits de douane
- exonération de la TVA à l’importation
De plus, dans le cadre de la mise en œuvre du «Plan d’Accélération Industrielle 2014-2020», des aides directes sont accordées :
- aux projets de création d’écosystèmes industriels ou complétant la chaine de valeur existante que ce soit via un investissement direct ou une JV et permettant la création d’emplois stables et un apport en formation, R&D ou en transfert de technologie ;
- aux projets permettant la valorisation des ressources naturelles et déchets
- aux projets ayant pour vocation la création de centres de conception, de développement, de tests et des essais au profit des filières industrielles.
Le Maroc a adopté la politique des 3 « S » – Sécurité, Stabilité, et Souplesse – pour élever son économie, accroitre son attractivité pour les Investissements Directs Etrangers (IDE), dont le volume est en hausse constante et dépasse déjà les 4 Milliards d’euros:
- Sécurité physique et institutionnelle établie: Depuis le début des années 1990, les autorités marocaines ont œuvré à libéraliser et à garantir les investissements étrangers: la Charte de l’Investissement en 1995, les accords de protection et de promotion des investissements avec 21 pays européens, 9 pays africains, 5 pays d’Amérique et 15 pays d’Asie, conventions de non double imposition avec de nombreux pays, processus d’intégration régionale et de libre-échange avec l’Union européenne, les Etats-Unis, plusieurs pays arabes et d’Afrique. La France reste le premier investisseur du Royaume, suivie des Emirats Arabes Unis et de Singapour.
- Une stabilité macroéconomique et politique consolidés : Considéré par les institutions multilatérales, FMI ou Banque Mondiale par exemple, comme un « bon élève » en matière de gestion de son cadre macroéconomique, le Maroc a choisi d’entreprendre des réformes de fond afin de stabiliser ses équilibres budgétaires et renforcer sa résilience aux chocs externes. Gage de cette montée en puissance, le déficit commercial du Maroc, structurellement déficitaire, est à son plus bas niveau depuis dix ans en 2015, du fait de la double conjonction de l’augmentation des exportations et de la baisse du prix des matières premières.
- Une souplesse portée par les plans sectoriels : Depuis le milieu des années 2000, le Maroc mise sur des plans sectoriels structurants – dont le récent Plan D’accélération Industriel (PAI)- qui ont permis au pays de redéfinir sa vocation industrielle et de se positionner comme un maillon important sur la chaîne de valeur mondiale des secteurs automobiles, aéronautiques, électroniques ou de l’Offshoring. Regroupés en Métiers Mondiaux du Maroc (MMM), ces secteurs ont fortement contribué à la croissance marocaine au cours de la décennie écoulée, avec une moyenne qui frise les 5%. Au coeur de cette stratégie, l’adaptabilité et la souplesse afin d’offrir aux investissements le cadre le mieux adapté à travers notamment un pack intégré d’incitations fiscales et un accompagnement par l’Etat des projets.
Un climat des affaires favorable